12 septembre 2007
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22:00
Quatre heures passée, les triolets des Stones et les douces ballades des White Stripes dans mes oreilles. Je rêvasse encore éveillée et m'étonne de la lenteur du temps qui s'étire quand tu es loin là bas, dans un ailleurs perdu. J'ai les paupières lourdes et une folle envie de noircir les pages blanches, faire chanter les mots en silence pour toi. Quelques mots en quête de chuchotement, en guise d'effleurement, juste le vent dans les cheveux et un coin de ciel bleu dans tes yeux, pour les sombres moments.
Plus loin dans la nuit, quelques gouttes de pluie plus tard, fermer les yeux et au creux de tes bras, étendre un frisson en une douce chanson alanguie sur le fil d'une étreinte de passion et résonne un Tic.. tac.. inexorable.
Et en ces instants je me dis..
Qu'importe si les chemins se croisent et ne se rencontrent point,
Puisqu'on peut retenir encore un peu le goût du printemps,
Qu'importe l'orage ou la pluie puisqu'au bout des rêves.. de toute évidence je t'attends.
Tendrement, éperdument, moi.
Plus loin dans la nuit, quelques gouttes de pluie plus tard, fermer les yeux et au creux de tes bras, étendre un frisson en une douce chanson alanguie sur le fil d'une étreinte de passion et résonne un Tic.. tac.. inexorable.
Et en ces instants je me dis..
Qu'importe si les chemins se croisent et ne se rencontrent point,
Puisqu'on peut retenir encore un peu le goût du printemps,
Qu'importe l'orage ou la pluie puisqu'au bout des rêves.. de toute évidence je t'attends.
Tendrement, éperdument, moi.
kamiya, 1.9.2007