19 septembre 2008
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Frappée par les silences blancs
de ces sensations diaphanes
Pas trébuchés, sur les lignes de faille
et les empreintes des dernières roses d'été
qui se fanent
En cet intervalle nu
point une ébauche.. d'histoire
carnet vierge posé à l'affût
sur le banc du temps public
feuilleté, en attente, par le vent
des destins magnifiques
Ici,
ni vide
ni mémoire
seul s'envole
l'indéchiffrable frisson de l'absolu.